Vu Aviator.
Même sentiment qu’au sortir de A Beautiful Mind : je ne suis pas assez fou pour être un génie.
Pas encore.
Vu Aviator.
Même sentiment qu’au sortir de A Beautiful Mind : je ne suis pas assez fou pour être un génie.
Pas encore.
Une étude statistiques des chances de sortir avec Britney Spears.
C’est en anglais bien sûr.
A Statistical look at the likelihood of an individual being able to go out with Britney Spears
Pour les handicapés linguistiques, sachez qu’un homme parlant anglais, d’à peu près le même âge que Brit, qui la trouve à son goût, qui vit dans une zone urbaine, est sociable, a la tchatche et n’est pas trop moche sans être trop bête (pas moins de 1 neurone, mais pas forcément plus que 2) a, outre toutes ces qualités, 1 chance sur environ 2940 de passer un moment agréable en tête à tête avec Britney Spears (voire plus si affinité).
“Rappelez-moi de ne jamais me marrier”. Forcément, en lisant cette bandessinées, c’est ce qu’on se dit. Moi, plus simplement, pendant qu’au tableau ma charmante prof de maths (et son sourrire ir-ré-sis-tible (qu’elle dit)) résout de splendides intégrales (ou plutôt, prouve qu’on peut trouver une solution, ce qui est bien plus compliqué est moins impossible que de trouver comme ça la valeur de ladite intégrale (si vous n’avez rien compris, faite comme si, vous verrez, c’est plus facile qu’il n’y paraît)) moi, je me réveille en sursaut, avec, dans la tête, cette phrase qui m’a valu un «tu devrais aller voir un psychologue» : “Et si on disait qu’on était dans une aubergine et que toi tu étais de la ratatouille”.
Hier j’avais un peu la flemme, j’étais fatigué. Faut me comprendre, ma colle de maths m’a épuisé puis après je suis allé voir Closer qui a créé chez moi la phrase “il faut que je déménage parce que sinon je continuerais à être amoureux de toi” (allez savoir pourquoi !) et en rentrant chez moi, je me suis écroulé. Alors brancher le scanner et me lancer dans un multi-lançage du scanner qui est toujours aussi insupportable vous imaginez bien que c’était trop pour un seul homme.
Après la perplexité qui a accueilli l’épisode d’hier, tant chez mes charmants camarades de classe (vous aurez ma photo de classe de cette année bientôt (qui a d’ailleurs indirectement refroidi mes ardeurs amoureuses, eu égard au fait que je préfère une petite copine qui ne soit pas chiante (personne ne comprendra cette phrase, sauf moi, ça fait écho à la BD d’hier qui n’a fait rire personne, sauf moi))) vous allez, aujourd’hui rire, de bon coeur.