Aujourd'hui, dans le Grand Journal, on découvre un nouvel auteur de cette rentrée littéraire ! Il s'appelle Boris Bergmann et lui contrairement à notre amie du post d'hier, il n'est le fils de personne, en tout cas pas d'un homme (et pous cause il n'a jamais connu son père). Par contre, comme notre amie d'hier, il est tout jeune, 14 ans seulement au compteur, mais il est déjà un Beigbeder en devenir nous apprend Denisot, un "observateur acéré de la réalité" comme dit Houellebecq. Il parle des Plastiscines (qui sont aujourd'hui en concert dans un Urban Outfitters de New York... wooouuuu je suis trop décu de ne pas être là-bas...) et des Shades dans son bouquin, et quand il vocalise ses pensées à la télévision c'est pour nous dire que lorsqu'il écrit c'est "du vomi qui se transforme en encre".
Sans blague, je ne savais pas que c'était aussi drôle la Rentrée Littéraire !