Depuis un mois, j'avais oublié que j'avais un blog. Vraiment. Donc je n'y ai rien écrit. Incidement, ça prouve que Skynet ne contrôle pas encore les rapes à fromage de chez OVH.
L'autre jour, en introduction d'un article du New York Times sur Lost que m'avait envoyé mon père pour que je m'occupe entre deux mise-en-ligne hautement critiques du nouveau site internet de ma boîte (que je ne linke pas par pure conscience professionelle (c'est dommage que "conscience" ne contienne pas de "p" ça aurait fait une horrible allitération)), l'auteur (de l'article) citait Hawking : la preuve la moins discutable de l'impossibilité du voyage dans le temps est l'absence manifeste de voyageurs venant du futur parmis nous.
Gossip Girl s'est terminé hier soir. Je ne crois pas qu'il faille rajouter quoi que ce soit. Je suis de plus en plus convaincu que Leighton Meester ferait une maîtresse formidable. How I Met Your Mother aussi, mais il aurait mieux valu que ça s'arrête la semaine dernière. Pour l'été, il me reste une bonne partie des deuxièmes saison de Terminator : The Sarah Connor Chronicles et Chuck. Et si je m'ennuie et que je ne pars pas raper du fromage à San Francisco, j'y ajouterai Greek.
Si je n'ai rien écrit ici pendant un mois, c'est qu'il y avait sûrement une raison. J'ai twitté à la place, donc le monde virtuel gardera quand même une trace de mon voyage à Rome, de toutes les fois où j'ai ris, suis tombé amoureux, ai pleuré et mangé des crêpes (en désordre d'importance).
Il est minuit et je suis face au cruel dilemne de traiter à la main 471 lignes de base de donnée ou alors de faire un programme qui le fait à ma place. Sachant que les deux procédures sont aussi chiantes l'une que l'autre, prennent un temps équivalent et que l'argument de la réutilisabilité du programme n'est pas valable dans le cas qui nous occupe.